RIP très Cher #ChuckBerry « Crazy legs ». Géant et pionnier du Rock’n Roll, parolier et guitariste de génie qui en a inspiré plus d’un, nous quitter à 90 ans, pour un musicos, c’est beau, mais c’est triste quand même !
Je suis triste aussi, car je perds un de ceux qui m’a le plus fait bouger mes guibolles à moi, totalement crazy aussi 😦
Mais je ne peux être triste longtemps quand j’entends sa musique comme dans Pulp Fiction de Tarentino, avec cette fameuse scène sur « You never can tell ».
Tenez c’est cadeau 🙂
Un Petit Blog... avisé ?? 
Mais non pas RIP ! Combien tu paries qu’il est en train de faire des RIF au paradis du Rock ? Bises Catherine 🙂
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Oups pardon 😳 j’ai … ripé sur les touches 😉
Bises Elisa 🙂
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J’ avoue que ça m’a fait un choc lorsque j’ai appris sa mort. Autant que lorsque j’ai entendu un soir de décembre l’annonce de l’assassinat de Lennon ou lorsque j’ai appris à la radio la mort de Presley.
Autant qu’une légende, c’est un mythe du rock’n’roll qui vient nous quitter. Avec Chuck Berry c’est le créateur du rock qui vient de disparaitre.
Avec Presley à ses débuts ou Eddie Cochran, il fait partie de ces rockers qui ont popularisé cette musique et qui ont bercé et fait danser 3 générations de personnes.
Chuck Berry est et restera le maitre incontesté de milliers de rockers qui firent leurs débuts à la guitare (dont moi) avec des morceaux immortel comme « Johnny B. Goode », « Roll over Beethoven », « Maybellene », « Carol », « Sweet little sixteen » ou « Memphis Tennessee ». Ce type avait un style propre à lui et ses intros de guitare étaient reconnaissables entre mille.
Quentin Tarentino l’avait fait découvrir à un nouveau public avec le morceau « You never can tell ». Hommage à cet homme qui a influencé les Beatles, les Rolling Stones et bon nombre de rockers qui arrivèrent après lui et se firent la main sur ses morceaux légendaires.
Maintenant il doit bien s’amuser et doit faire se remuer sérieusement tout le Paradis en compagnie de Cochran, Buddy Holly, Lennon, Jimi Hendrix et Beethoven. Ils devaient l’attendre avec impatience la haut et ont du lui réserver un accueil digne d’un géant du rock n roll.
Tout comme toi, je me suis éclat et bien remué sur ses morceaux : j’ai dû éviter de faire de l’embonpoint grâce à lui. C’est sur Johnny N. Goode ou sur Carol que je me suis entrainé à jouer du rock : j’espère qu’il m’a pardonné de l’avoir massacré au début mais j’ai fini par jouer du Chuck Berry à peu près potablement après avoir insisté et souffert sur les cordes de ma Gibson.
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Merci Yann pour ce bel hommage. Oui le paradis est en veine ! 🙂
Tu as eu les doigts qui ont saigné sur ta Gibson ? 😉
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Et oui ! Au tout début ce fut difficile car certains accords demandaient une pression particulière sur les cordes et faire glisser mes doigts sur ces mêmes cordes fut parfois ardu. Mais après de longues semaines d’efforts, ça a fini par payer mais pas au point de devenir un « guitar hero », loin de là !
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Jamais vu Pulp fiction 😦 pas cinéphile le bestiau
Bisoussssssssssssssssssssssssssssss
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Je pense que cela te plairait 🙂
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Quoi ? Tu ne connais pas « Pulp fiction » ? A voir absolument pour te faire une idée de ce qu’est un film réussi et voir ce qu’est le style Tarentino.
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Le style Tarentino… humour noir déjanté et bien drôlatiquement méchant ,mais surtout déjanté ! 😀
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Ping : Chuck | Charentonneau
Merci pour le partage 🙂
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J’adore cette scène de Pulp Fiction !
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Comme toi !
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Me too😉
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Les BO de Tarantino sont souvent de petits bijoux !
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Je suis d’accord !
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