Une petite bricole poĂ©tique… pour les amours qui dĂ©frisent… les « passants honnĂȘtes »*… đ
« Conjugaison »

Je t’aime, c’est sĂ»r,
Tu m’aimes, c’est vrai.
Elle m’aime, le savez-vous ?
Nous nous aimons, c’est tout.
Vous n’aimez pas ?
Ils nâaiment pas !
. . . . . . . . . . . . .
Ils s’y feront ! …
©Brice Chaffthorn – Juin 1984
©Reproduction interdite sans l’accord de l’auteur, Merci đ
* Un bout des paroles de la chanson « Bancs Publics » de Georges Brassens
Ha au moins on apprends Ă conjuguer le verbe Aimer. J’ai aimĂ©, c’est gĂ©nial et surtout bien fait.
Bonne soirée. Amitiés.
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Apprendre, toujours apprendre đđ
Merci c’est gentil đ et tant mieux si ça t’a plu ; comme c’est un peu le but, alors c’est bien đ
Bon week-end
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Fort jolie conjugaison amusante de deux ĂȘtres qui s’aiment et qui se moquent de ceux qui n’apprĂ©cient pas.
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C’est cela mĂȘme trĂšs Cher đ
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çà me rappelle : ( mais pourquoi ? )
Je veux dédier ce poÚme
Ă toutes les femmes qu’on aime
Pendant quelques instants secrets
Ă celles qu’on connaĂźt Ă peine
Et qu’un destin diffĂ©rent entraĂźne
Et qu’on ne retrouve jamais
Ă celles qu’on voit apparaĂźtre
Une seconde Ă sa fenĂȘtre
Et qui, presque, s’Ă©vanouit
Mais dont la svelte silhouette
Est si gracieuse et fluette
Qu’on en demeure Ă©panoui
Belle compagne de voyage
Dont les yeux, charmant paysage
Font paraĂźtre court le chemin
Qu’on est seul peut-ĂȘtre Ă comprendre
Mais qu’on laisse pourtant descendre
Sans avoir effleuré la main
à celles qui sont déjà prises
Et qui, vivant des heures grises
PrĂšs d’un ĂȘtre trop diffĂ©rent
Vous ont, inutile folie
Laissé voir la mélancolie
D’un avenir dĂ©sespĂ©rant
Belles images aperçues
EspĂ©rances d’un jour déçues
Vous serez dans l’oubli demain
Pour peu que le bonheur survienne
Il est rare qu’on se souvienne
Des épisodes du chemin
Mais si l’on Ă manquĂ© sa vie
On songe, avec un peu d’envie
Ă tous ces bonheurs entrevus
Aux baisers qu’on n’osa pas prendre
Aux cĆurs qui doivent vous attendre
Aux yeux qu’on n’a jamais revus
Alors, aux soirs de lassitude
Tout en peuplant sa solitude
Des fantĂŽmes du souvenir
On pleure les lĂšvres absentes
De toutes ces belles passantes
Que l’on n’a pas su retenir, retenir
Auteurs-compositeurs : Antoine Pol, Georges Charles Brassens,
F.
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Merci pour cette belle chanson et beau texte de Brassens et Pol đ
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De rien : Je ne sais pas exactement pourquoi ton billet m’a amenĂ© Ă mettre les paroles de cette chanson , mais suis heureux qu’elle t’ai plu .
F.
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C’est joliment conjuguĂ© !
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đ đ
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