Dans quel état j’erre… dans mes lectures ?

Sur cette page, je vous présente et vous présenterai un échantillon des livres qui ont jalonné très concrètement ma vie, la jalonnent et la jalonneront encore.

Quand vous la consulterez, vous pourrez peut-être ❓ vous dire : « Huuuu ! Une barrée,  une illuminée… Au secours ! Fuyons ! 😮 « 

Mais noooon, revenez !!!

Si vous lisez ou relisez ma petite bio vous verrez aisément que personne ne me « conduit ». Je fuis les dogmes, les « chapelles », les écoles,  les sectes et tutti quanti à l’avenant !

Ces quelques ouvrages, sans être des modes d’emploi infaillibles, peuvent parfois et même souvent remettre les pendules à l’heure, les points sur les « i » et les barres aux « t » et asséner au passage 2 ou 3 coups de « pied au cul…te » salvateurs !

Ils pourraient être comme quelques petits cailloux blancs semés sur les chemins parfois sombres et tortueux de nos vies de dingues, d’égoïstes, de paumés (Je sais ! Je sais ! Pas vous… 😛 ).

C’est juste un partage. Vous grappillez, ou pas 🙂

Les livres qui sont et seront ici ne sont pas mes uniques lectures (loin s’en faut, mes étagères et cartons comptent grosso-mer** 4500  bouquins ) !  J’ai suivant les âges et les périodes lu des BD, des romans classiques, des polars, des Club des cinq, de l’anticipation, de la SF, etc. Aah non! Pas la collection Harlequin et autres du même acabit 👿 et pour… l’érotico-branchouille, comment dire ?… je préfère (préférais…) l’action aux mots…😉 « L‘hyper-hype-tendance » ? Ne comptez pas sur moi, à moins que cela ne m’ait titillé utilement.

Autre chose qui risque de déplaire : les bouquins qui « pèsent lourd », parce que pour une phrase importante de 3 lignes il y a 10 pages de descriptions, alors là : je n’a-dhère-pas (même s’ils font partie de ma biblio, faut pas mourir idiot) ! Un ou deux adjectifs bien choisis suffisent à me donner la tonalité et permettent à mon imagination de construire mentalement les 10 pages de « poids » ! Dès que je vois ce genre de prose même formidablement écrite (même par de très grands auteurs – Totor, Stendhal, Tolstoï … -je ne cite que les trépassés pour ne pas vexer…) je fais du steeplechase dans les chapitres 😉 Je vais être infecte😈  : souvent sur 500 pages je n’en lis que 100… allez, 150 pour être gentille… (A une époque les livres au poids et au mètre permettaient de bien isoler les murs … contre le froid…)

Vous aurez donc un peu de tout : philosophie, humour, politique, football, spiritualité, sciences et techniques, économie, savoir-vivre (oh pourquoi pas 😉 ), psychiatrie, S.F., etc…

N’hésitez pas à partager dans les coms les lectures qui vous ont titillé, aidé et, pourquoi pas, qui auraient changé votre vie,  en disant ou non… pourquoi.

(en quelques mots  😀 )

[En cliquant sur les jaquettes vous arriverez sur des sites marchands (je n’ai  aucun intérêt 😉) ]

HUMOUR


Pierre Dac – « Essais, Maximes, Conférences »

Le pitch : le roi des loufoques !  De l’humour, de la rigolade OUI ! Mais aussi une philosophie, une poésie bien ancrée dans un absurde salutaire.

Mon grain de sel : Vieilles barbes barbantes barrez-vous ! Pour les petits djeun’s qui traîneraient par ici ce Monsieur ne vous dira peut-être rien, alors vous pourriez aller lire un court article qui vous précisera les choses sur ce personnage étonnant et détonnant 😉 (vous pouvez aussi visiter ce site « Pierre Dac » il y a des pépites 😀 )

Pourquoi ai-je choisi Pierre Dac et ce livre ? Tout simplement il permet de voir des vérités par l’humour et donc remet les barres aux « t » et évite de se prendre au sérieux quand on se met à cogiter. 😉

Pour l’anecdote, j’ai joué avec gourmandise une de ses courtes saynètes-conférences

PHILO, SPIRITUALITÉ


VOLTAIRE – 1/ « Les contes philosophiques » 

Le pitch : Ces « simples » contes, comme tous les contes, donnent à réfléchir.  En sus Voltaire voulait déjouer la censure en plaçant ce qu’il avait à dire sur la société de son temps dans des contrées lointaines avec des personnages fictifs. Le ton est souvent caustique, c’est Voltaire !

Mon grain de sel : Vous les connaissez, du moins un, Zadig, car étudié au collège et peut-être un autre, Candide, au lycée. Ces contes furent pour moi une lecture mémorable !

La toute première fois, toute gamine allongée sur le tapis de  la salle à manger (tu parles l’édition complète qu’on avait à la maison était de 1862, alors tu vois la taille et le poids d’un bouquin 😮 Je les ai toujours mais sont dans un carton… pas de place… ), j’ai dévoré en premier lieu « La Princesse de Babylone ». J’étais avec cette Princesse courant tout autour de la terre, par mers, par monts et par vaux, après son berger  qui au bout du compte lui sera quand même infidèle ! Ensuite Zadig ou la destinée, Micromégas, Le crocheteur borgne, etc. (avant même que les profs le demandent 😉 )

 

2/ « Le dictionnaire philosophique »

Le pitch : rien de tel qu’une petite définition pour se donner une idée générale du ton de Voltaire :

AMOUR : Il y a tant de sortes d’amour qu’on ne sait à qui s’adresser pour le définir. On nomme hardiment amour un caprice de quelques jours, une liaison sans attachement, un sentiment sans estime, des simagrées de sigisbée, une froide habitude, une fantaisie romanesque, un goût suivi d’un prompt dégoût : on donne ce nom à mille chimères.
Si quelques philosophes veulent examiner à fond cette matière peu philosophique, qu’ils méditent le banquet de Platon, dans lequel Socrate, amant honnête d’Alcibiade et d’Agathon, converse avec eux sur la métaphysique de l’amour. Lucrèce en parle plus en physicien; …/……/… 
L’amour-propre surtout resserre tous ces liens. On s’applaudit de son choix, et les illusions en foule sont les ornements de cet ouvrage dont la nature a posé les fondements. Etc.

 Mon grain de sel : parcouru à partir de mes 10 ans, toujours allongée sur le tapis  à rigoler très très souvent ! Je m’y suis replongée à nombreuses reprises et plus je vieillissais plus je rigolais, à d’autres endroits 😉

(téléchargeable et consultable en ligne)

SCIENCES


Henri Laborit – « Éloge de la fuite »

Essais psycho-socio-biologique

Pas de panique ! Cela se lit tout seul, le professeur Laborit savait parfaitement vulgariser

L’Auteur : Le professeur Henri Laborit fût médecin-chirurgien puis neurobiologiste et d’ailleurs, certains le nomment « Le père de la psychiatrie moderne » pour son utilisation des neuroleptiques. Il a aussi révolutionné l’anesthésie et étudié le comportement animal et humain.

Le Pitch : l’auteur pose, à la lumière des découvertes biologiques, la question de notre libre arbitre, de notre personnalité même. La politique, la société, tout prend dès lors une autre dimension.

« Se révolter c’est courir à sa perte, car la révolte si elle se réalise en groupe, retrouve aussitôt une échelle hiérarchique de soumission à l’intérieur du groupe, et la révolte, seule, aboutit rapidement à la soumission du révolté… Il ne reste plus que la fuite »

Mon grain de sel : Le professeur Laborit était un Anti-conformiste, donc vous comprenez pourquoi il est dans ma biblio, et pas qu’avec ce livre.

Son nom vous dit peut-être quelque chose, si je vous dis : « Mon Oncle d’Amérique » film d’Alain Resnais inspiré de ses travaux (j’y ai fait allusion ICI … sur la légitimité avec en vidéo un extrait du film : la terrible expérience de Milgram… Obéissance à l’autorité).

Un livre qui peut aider à tailler en brèche nos multiples conditionnements, donc qui peut s’avérer… utile. Un ouvrage à lire, relire sans modération, si le besoin s’en fait sentir… en gardant bien son libre arbitre… 😉

Concernant ma vision de la révolte/révolution et de la liberté/libre arbitre c’est à lire LA.

Encore un bouquin à re-relire. Je le laisse sorti comme ça dès que j’ai fini l’autre, je m’y replonge !


SF, FANTASY…


 A.E. Van Vogt – Le Cycle du à (non-A)

Trilogie S.F comprenant « Le monde des à», « Les joueurs du à» et « La fin du à»

L’édition française contient une postface de l’auteur justifiant les modifications apportées après la première édition. La même postface précise les liens avec la sémantique générale et commente l’accueil critique fait au roman.

Le pitch  :  au XXVI siècle  le personnage principal, Gilbert Gosseyn (Go sane), désire accéder à l’élite politique et technique qui possède des conceptions philosophiques évoluées. Tous les postes de pouvoirs sont remis en jeu régulièrement grâce à un système de « jeux » opérés dans la Cité des jeux, sous la supervision de la Machine des jeux, un super calculateur gigantesque.

Il se rend compte alors que son passé n’est qu’une illusion et part en quête de son identité réelle.

Il rencontre alors des membres de l’élite active, dont certains lui apportent une aide capitale tandis que d’autres tentent de l’éliminer. Tour à tour recherché et sauvé, liquidé et rematérialisé sur Vénus, la planète exemplaire du monde non-aristotélicien, Gosseyn comprend progressivement, aidé en cela par son « cerveau second », à l’origine de pouvoirs exceptionnels, qu’il est l’instrument d’une révolution dans le monde du non-A, tandis que dans le même temps la Terre est sous la menace d’une invasion par un empire galactique hostile.

Au fur et à mesure il apprend à utiliser les capacités exceptionnelles que lui confère son cerveau hors-norme. Il lui faudra alors pénétrer dans la « Machine », à la fois sanctuaire technique et ordinateur géant, mis au point par le fondateur du système non-A, pour comprendre à la fois les raisons et les enjeux de son aventure.

Mon grain de sel : ce fut ma première lecture S.F. moderne, car je ne parle pas, par exemple, de Jules Verne 😉

Pour moi, c’est effectivement S.F à cause de la situation de l’intrigue dans le futur et dans un monde inter-galactique. A part cela, je le classerais tout aussi bien dans les essais philosophiques, mythiques et mystiques sur la quête d’identité, le questionnement sur la réalité ou l’illusion du monde et de ce qu’on en perçoit et la recherche de la réponse à la grande question du « pourquoi de la vie ».

Cela peut être une première approche pour s’attaquer à la sémantique générale, mais plus « simplement » c’est un grand classique S.F. où l’auteur met en perspective et délivre  son propre questionnement et sa propre démarche philosophique de vie sous couvert d’une histoire placée hors du temps et de l’espace connus, afin d’amener le lecteur où il veut, mine de rien 😉

Par certains côtés : quête identitaire, questionnements entre réalité et illusion (un peu beaucoup schizophréniques), cela me fait penser au « Prisonnier«   😉 bien que les deux premiers romans du Cycle du à furent écrits avant le Prisonnier  et que, par contre, La fin du Ã, après …

Tiens, il faudrait que je le relise, pour voir si ma vision est identique maintenant ❓


📚à suivre…📚

 

 

21 commentaires pour Dans quel état j’erre… dans mes lectures ?

  1. caroline ida ours dit :

    Maintenant ça fonctionne merci beaucoup! j’adore tes posts

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  2. Ping : Dans quel état j’erre… dans mes lectures ? … [Mise à jour n°2] | Un Petit Blog… avisé ??

  3. Ping : Dans quel état j’erre… dans mes lectures ? … [Mise à jour n°1] | Un Petit Blog… avisé ??

  4. Trigwen dit :

    Tout comme toi, je suis un lecteur assidu depuis mon enfance et, comme toi, je suis parti de la B.D. en passant par le club des cinq, la collection rouge et or pour me lancer dans des lectures plus « sérieuses ».
    A ton instar, j’ai lu les deux livres de Voltaire que tu nommes et son dictionnaire m’a aussi amusé. De Pierre Dac, j’ai lu « Les Pensées » et les arrières pensées.
    Il n’en reste pas moins que mon auteur de prédilection reste Victor Hugo. Sinon j’ai un faible pour Henri et Yann Queffelec et pour Cronin.

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    • Je lisais en même temps BD (exemple : Grand mère tartine,Tintin, etc.), le Club des Cinq, la collection R&O, mais aussi Voltaire. Et que pourquoi ? Parce que je piochais dans la bibliothèque de ma mère ! J’étais Romans classiques quand j’étais ado, mais après bof à part les polars et l’espionnage lus à toute vitesse pour un moment de loisir un peu comme on voit un film, tu vois 😉 Ah si quelques romans humoristiques comme ceux de Nicole de Buron où tu te bidonnes, cela fait du bien 😀 😉 ne pas oublier aussi largement adulte et encore y’a pas si longtemps mon Gaston….. Lagaffe toujours pour la détente des boyaux.
      Et mélangé à des essais de toutes sortes cela fait un ensemble très jouissif, enfin pour moi 😉
      Totor, Cronin oui (y’a fort longtemps donc) je ne connais pas Queffélec car c’est un romancier récent et comme je l’ai dit plus haut, il y a longtemps que ma période romans est passée…

      J’aime

      • Trigwen dit :

        Quand je parle de Quéfellec, je pare aussi du père, Henri Quéfellec avec « un recteur de l’île de Sein », « Chemin de terre, » « lis étaient six marins de Groix » ou « Le jour se lève sur la banlieue. » De Voltaire j’ai aimé « Zadig » et « Candide » ainsi que « les contes philosophiques. »
        Il en est de même pour Pierre Dac dont beaucoup ignorent que le Schmilblick est de lui et non de Coluche. De lui j’ai lu en me bidonnant Les Pensées, comme toi « Essais, maximes et conférences » ou « Les Pédicures de l’Âme ».
        En B.D. bien sûr, j’ai lu Grand mère tartine, Tintin et, comme histoire de jeunesse « le Club des Cinq » et quelques livres de la bibliothèque Verte et la bibliothèque Rouge et Or.

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  5. Aie aie aie, 4500 bouquins !!??!!!
    Re aie pour voltaire, pas lu, et il y en a d’autres que je n’ai pas lu, et pas des moindres.
    Des pointures, des rocs des caps des péninsules….
    Je sais, j’ai un peu honte… un peu beaucoup…
    Par contre j’ai lu Proust, ça compte Proust ? 🙂
    Mais Voltaire, Diderot, Zola Hugo, pas encore eu le temps….
    (pas sur la tête….., c’est mon outil de travail 🙂 )
    Je me note, « lire Voltaire » APREs avoir lu Pierre Dac 🙂
    Bisousssssssssssssssssssssssss

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    • Arrête d’avoir mal ! 😉
      Y’a pas à avoir honte de quoi que ce soit, moi j’ai pas lu Proust et cela ne me tente pas, c’est pas my cup of tea 😀 😉
      Le « Aïe » sur la tête était assené par un bottin ? Fantôme du « 36 » 😉

      Les Pensées, essais de Pierre Dac sont un régal, c’est bien ton style je pense 😀
      Bisousssssssssssssssss

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      • Trigwen dit :

        Entièrement d’accord. Je trouve Proust pénible et ennuyeux à lire.
        Tout comme toi, les livres qui sont trop à force de trop de détails et de phrases trop longues enlèvent une partie du plaisir de lire.
        Comme toi, les auteur russes sont peu attirant pour le lecteur que je suis : Nicolas Gogol ou Tolstoï.

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        • Je m’insurge en faux seigneur Trigwen, Proust n’ai pas ennuyeux.
          J’ai mis plus de vingt ans avant de tenter la lecture, tout ça à cause des pseudo spécialistes qui en ont fait une espèce de Mythe que seul les « grands esprits » peuvent comprendre, « analyser » etc…
          Bref, j’étais très réticent, et puis un jour, j’ai entendu quelqu’un qui démystifiait la chose, ce qui m’a convaincu de lire.
          J’ai pris cette lecture comme une simple lecture faisant abstraction de tout les A priori.
          Ce que j’en retiens c’est une description du monde semi mondain du 19eme siècle, une balade a travers les paysages et les mœurs en pratique à cette époque.
          J’imagines déjà la tête des puristes s’ils lisent mes propos 🙂
          Mais c’est comme ça que je l’ai perçut.
          On peut trouver ça rébarbatif aussi, en effet, on a le droit 🙂

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        • Grrrr ton com était dans la « corbeille » !!!
          Le fantôme d’un puriste t’a joué un vilain tour 😉 Houuououhou
          (Halloween c’est pas encore maintenant ! (je parle au fantôme…)
          On en a rien a f***** des puristes ! Tu aimes c’est tant mieux. Ah mais, les goûts et les couleurs… tu connais l’adage 😀
          Bisoussssssssssssssssssss

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        • je me disais bien aussi que j’allais passé à la trappe 🙂 🙂
          en fait je voulais te le signaler mais je n’ai pas eu le temps 🙂
          bisoussssssssssssssssss

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        • Heureusement que je vérifie de temps en temps la poubelle des coms car à contrario des « indésirables » ou « en attente », ils ne sont pas signalés, faut regarder l’onglet « corbeille ».
          Bisousssssssssssssssssssssssss

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      • J’adore Pierre Dac, c’est très subtil et il y a plein de bon sens dans ses non-sens, même si certains ne capte pas parfois, l’essence du non-sens
        (Je ne sais pas si je suis bien clair là, mais ça reste dans la tonalité 🙂 )
        Bisoussssssssssssssssssssssssssssss

        Aimé par 1 personne

    • Trigwen dit :

      Ne panique pas Messire Pendragon ! Chez moi il y a environ 500 bouquins et un peu plus de 1200 disques qui vont de la fin des années 50 au début des années 2000.

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  6. Ping : Dans quel état j’erre… dans mes lectures ? … | Un Petit Blog… avisé ??

  7. gibulène dit :

    Je suis plus proche de Pierre Dac, je l’avoue, que de Voltaire. Mon Maître reste en tout état de cause Raymond Devos 🙂 Nous allons suivre ce coin bibliothèque avec intérêt.

    Aimé par 2 personnes

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